Retrouvez les réactions en conférence de presse après la défaite de la Chorale Roanne Basket face à LDLC ASVEL (69-73) lors de la 6e journée de Jeep® ÉLITE.
Maxime Boire (coach Chorale) : «Cela reste l’ASVEL en face, ça pouvait être pour eux un match piège et on a tout fait pour le rendre ainsi, ça l’a presque été. On voit le chemin où il faut aller, il faut y aller correctement. Il faut se servir de ces matchs pour les autres. Félicitation aux joueurs. On a essayé de travailler sur la transition entre la défense et l’attaque, on a essayé de mettre des systèmes courts mais on ne va pas tout changer. On essaie de travailler par petites touches. J’ai hâte d’une chose, c’est de retourner au travail, car les joueurs ont répondu et que la salle aussi a répondu. J’ai beaucoup apprécié le public, merci à eux.»
Olivier Cortale (intérieur Chorale) : «A la fin on a péché dans le rebond, le contrôle. A -2 quand on échappe le rebond par exemple… C’est une défaite à l’expérience, l’ASVEL a réussi sous contrôle. En soi on fait jeu égal, mais il y a un manque de lucidité. On avait fait une bonne semaine d’entrainement, on savait que ça allait être compliqué pour eux avec l’enchainement des matchs, on aurait pu le prendre. On n’a pas trop eu le temps de réfléchir, on a dû vite passer à autre chose. On avait fait des bons matchs comme à Monaco, on a vraiment bien travaillé. Le truc qui nous a fait du bien c’est qu’on a réussi à rester au contact.»
Zvezdan Mitrovic (coach ASVEL) : «Après un long road trip à Kaunas on affrontait une équipe qui vient de changer de coach, on s’attendait à tout sauf à un match facile. J’ai dit à mes joueurs de jouer très dur. J’aurais pas été si déçu si on avait perdu à la fin car ça n’aurait pas été illogique, mais on n’a fait parler notre expérience. J’ai un maximum de respect pour toutes les équipes de Jeep Elite, de la première à la dernière, j’ai jamais pris un match à la légère, je ne suis jamais surpris comme lorsqu’Orléans va gagner à Nanterre. J’aborde tous les matchs avec le même sérieux, là le problème c’est qu’on a pas pu préparer ce match.»
Edwin Jackson (arrière ASVEL) : «Il faut qu’on passe un cap physique. Notre adresse est liée à la fatigue. Tant qu’on est capable de rester ensemble 40 minutes, c’est déjà très bien. On sait que c’est des équipes qui nous attendent toute la semaine, il faut qu’on réponde présent.»